Renaud Muselier donne le LA pour le lancement de Cap sur l’Avenir

Alors que le monde connaît des crises et des bouleversements importants, certains sont touchés par la nostalgie et la résignation. Nous, dans le Sud, préférons la détermination et l’action au service d’une vision de développement claire !

MES CHERS AMIS, MERCI À VOUS TOUS

Merci à chacune et chacun d’entre vous pour votre présence ce soir.

Merci, ma chère Dominique, merci, mon cher Jean-Marie, pour vos mots si chaleureux ce soir. Merci d’être présents à mes côtés, vous qui incarnez avec tant de talent et de personnalité les territoires de notre région que sont le Vaucluse et les Hautes-Alpes.

Merci à vous tous, qui êtes venus de tous les territoires de notre grande région, pour assister au lancement de notre nouveau parti ! Certains d’entre vous sont même venus de Paris, de Bruxelles, pour assister à ce moment un peu particulier, cette soirée un peu spéciale.

Bienvenue ! Bienvenue à ceux qui sont des militants depuis toujours, qui n’ont jamais rien lâché, à mes côtés, pour leurs idées. Bienvenue à ceux qui n’ont jamais milité, aussi, et qui sont avec nous pour la première fois, parce qu’ils ont l’espoir de voir quelque chose de nouveau se passer ce soir. Bienvenue, enfin, à tous les curieux, à tous les amis, à tous les amoureux de leur territoire et de leur région : vous êtes ici chez vous ! Je sais que votre présence, ce soir, est un grand témoignage de confiance – et cette confiance crée encore plus de devoirs que de droits.

  • Je suis un homme de droite, engagé pour sa ville, sa région et son pays depuis plus de 30 ans, dans des familles politiques qui ont façonné la France. Aux côtés des Présidents Jacques Chirac, et Nicolas Sarkozy, j’ai appris qu’on devait toujours additionner, toujours rassembler ! Et ne jamais fracturer, ne jamais diviser.
  • Je suis un homme du Sud, de la Provence, des Alpes, de la Côte d’Azur, de la Méditerranée, ce petit pays de 5 millions d’habitants que le monde nous envie.
  • Je suis un médecin : diagnostic, traitement, soins, humanité sont mon quotidien et ma vie depuis mes 20 ans.

J’ai appris, pendant ces années d’engagements, à gagner comme à perdre.

À connaître les succès comme les échecs. J’ai appris, comme vous tous, que la vie est faite de défis et d’épreuves, dans un monde en transformation permanente.

Cette expérience a forgé une conviction absolue : quelles que soient les circonstances, même au cœur des crises, on a besoin de positif, de sourire, de joie de vivre, d’espoir !

Avec lucidité, bien sûr, sans jamais se voiler la face ! Mais toujours avec beaucoup de sangfroid et d’optimisme, car c’est le seul moyen de les régler.

Et pour faire le bon diagnostic, pour garder son calme, un peu d’expérience ne nuit jamais.

C’est le sens de notre rencontre ce soir. C’est le sens de votre venue. Merci, du fond du cœur, d’avoir répondu à mon appel.

ENSEMBLE, NOUS SOMMES LE SUD !

Nous sommes un petit pays de cinq millions d’habitants, une région aux trois marques-monde connues dans le monde entier : Provence, Alpes et Côte d’Azur. 

  • Un territoire de la taille de la Belgique, la population de la Finlande, avec un PIB proche de celui de la Nouvelle-Zélande ! Avec ses trois métropoles et ses 800 villages.
  • Un espace béni des dieux, avec 50% d’espaces boisés, 1000 kilomètres de côte, ses 9 parcs naturels régionaux, 4 parcs nationaux, 17 réserves naturelles !
  • Le creuset de toutes les énergies : avec le photovoltaïque et nos 300 jours de soleil par an, l’éolien flottant, l’hydraulique, le nucléaire – fission comme bientôt la fusion avec ITER, la méthanisation, l’hydrogène…
  • Une terre d’excellence industrielle et économique, avec des fleurons – CMA-CGM, Airbus Hélicoptères, Thalès, Pernod Ricard, ST Micro, Amadeus, ONET…
  • Une puissance maritime avec toutes ses facettes : l’accès à la mer pour les loisirs de chacun bien sûr, mais aussi le premier port militaire d’Europe à Toulon, et le premier port de France en matière de trafics sur les bassins de Marseille et Fos !
  • Un pôle militaire reconnu, avec 3 bases aériennes, dont le Roissy militaire à Istres, 10 régiments de l’armée de terre, bien sûr notre port de Toulon – 1 er port militaire d’Europe, et des soldats engagés sur tous nos théâtres d’opération, aux frontières d’Ukraine comme au Sahel.
  • Nous sommes une patrie résolument culturelle, faites d’identités multiples, première région de festivals en Europe, avec nos traditions et tous ceux qui les font vivre, souvent de façon bénévole et exceptionnellement vivante !
  • Nous sommes une terre de jeux, où le sport occupe une place à part, où nous avons la seule équipe française vainqueur de la Coupe d’Europe de football, capables d’accueillir la coupe du monde de rugby en 2023 et les épreuves des JO en 2024…
  • Nous disposons d’équipements de santé de niveau mondial, comme le Biogénopôle à Marseille, le centre d’innovation à Nice, des meilleurs spécialistes, de la meilleure couverture médicale de France, avec 525 médecins pour 100.000 habitants !
  • Nous sommes entrés dans le top 10 des régions captatrices de fonds européens, avec 10 milliards d’euros d’investissements verts visés d’ici à 2028 en Région Sud !
  • Nous avons engagé un plan climat unique en France, doté de 40% du budget régional, qui passera bientôt à 100% – le premier budget vert d’Europe. Pour votre avenir, pour se préparer avec optimisme et détermination au changement climatique.

QUAND NOUS SOMMES UNIS, RIEN NE PEUT NOUS ARRETER

Voilà pourquoi, avec 300 élus du territoire, représentant plus de quinze formations politiques, nous avons signé en septembre le manifeste des Territoires Unis du Sud.

Je suis intimement convaincu que nous sommes sur la bonne piste.

Ça va marcher parce qu’on voit bien que tout le monde est perdu, au niveau national. On est tous militants, on adore la politique, mais on ne sait plus qui fait quoi, qui pense quoi.

Le non-cumul des mandats a créé deux catégories d’élus : les élus d’en haut, et les élus d’en bas. Et le risque est qu’ils ne se parlent plus, ce qui aggrave la crise démocratique.

On a lancé ce parti il y a un mois : depuis, 1700 adhérents nous ont rejoints, des membres de la société civile dans tous les secteurs sont venus à nos côtés, d’autres maires se sont déclarés, des parlementaires sont venus dire « nous aussi, on veut contribuer ».

On additionne, on rassemble, et on montre notre force !

Et je veux ajouter quelque chose de personnel : je suis un « jeune vieux », qui se sent toujours jeune. J’ai vécu 20 élections sur mon nom, j’en ai gagné 17, j’ai vu passer 5 présidents de la république, 19 premiers ministres, et j’ai moi-même été ministre.

Et tout ce qui m’intéresse aujourd’hui avec vous, c’est de transmettre cette expérience, faire place aux jeunes, préparer l’avenir pour vous aider à affronter les défis !

C’est pour ça que la France observe, scrute ce que l’on fait ici, à la fois attentive et intriguée par nos caractères, notre diversité, nos qualités et nos défauts. Cette force, c’est le territoire. Et notre territoire à nous, c’est le Sud, où se sont passées des choses incroyables :

C’est du Sud qu’est née la France, où ont été fondées les plus anciennes villes de France, sur toute la façade méditerranéenne.

C’est du Sud que l’Eglise catholique a guidé l’Occident médiéval, pendant 60 ans qui ont vu 9 Papes se succéder à Avignon, dans l’enclave, chère à Patrick ADRIEN.

C’est du Sud qu’on observe les étoiles et qu’on découvre des planètes, comme la 3e exoplanète la plus proche de la Terre, à l’Observatoire de Haute-Provence !

C’est du Sud que les premières étincelles de la Révolution française sont nées, avec Mirabeau l’aixois, les Etats de Provence, dès décembre 1788 – et notre hymne porte le nom d’une femme du Sud… une Marseillaise !

C’est du Sud que la libération de notre pays s’est achevé, en 1944, avec le débarquement allié dans le Var, considérablement appuyé par la résistance des nôtres, sur le terrain !

C’est du Sud qu’est né l’instinct de liberté et d’unité de nos voisins italiens, avec Giuseppe Garibaldi le Niçois, né Français, parmi les plus grands européens de l’histoire.

C’est du Sud que la France a obtenu 5 Prix Nobels, 2 Oscars, 1 médaille Fields, des reconnaissances mondiales qui font rayonner notre pays… C’est ce Sud, indomptable, rieur, offensif, chantant, ambitieux, rebelle !

NOUS SOMMES FIERS D’ÊTRE DU SUD

Fiers d’être ce que nous sommes, profondément, depuis des siècles, et l’affirmer !

Comme les autres sont fiers d’être de chez eux, et ils ont raison ! Mais nous, on est le Sud. Finalement, ce n’est pas un petit pays, c’est la plus belle région d’Europe. Fiers se projeter au plus haut niveau industriel, économique, scientifique, académique, en nous tournant vers l’avenir, en Europe et dans le monde.

Jamais dans le déni ! On regarde la réalité en face : trafics de drogue, aussi, de la violence, aussi, de la misère, parfois aussi. Mais on vient aussi du monde entier, chez nous !

Ça, c’est le Sud ! Voilà ce que nous sommes. Voilà pourquoi nous sommes ensemble. Cette force des territoires, je suis sûr qu’elle va se développer dans notre pays. C’est pour ça que nous sommes sur la bonne voie : au national, le régalien. Au local, la décentralisation. Et je veux remercier les parlementaires présents ce soir, qui veulent garder ce lien au local.

Nous posons aujourd’hui un acte de décentralisation tout à fait nouveau.

Un acte de décentralisation politique, qui ne nécessite pas de grande loi, ni de décision difficile, mais qui ramène le militantisme au niveau du terrain.

Ne nous demandez pas ce qu’on pense de la retraite à 65, 67 ans ! Ne nous demandez pas s’il faut utiliser le 49-3 pour voter le budget !

Demandez-nous comment on défend la filière lavande contre la règlementation européenne.

Demandez-nous comment on fait reculer la pollution dans nos ports industriels !

Demandez-nous comment on aura de l’eau quand il fera 45 degrés chaque été !

On a bien vu cet été que les défis allaient être énormes, avec le dérèglement climatique : mais on ne va pas se laisser abattre ! Nos aînés l’ont fait, avec les aqueducs, avec le lac de Serre-Ponçon, avec le Canal de Provence : ils ont trouvé les solutions. En Israël, à Abu Dhabi, ils trouvent les solutions en conditions extrêmes : on va s’en inspirer et travailler avec eux, de territoires à territoires.

Dans tous les domaines, les élus nationaux s’occupent du national. Nous, on fait le reste.

Et nous, on aborde les choses différemment :

  • A la résignation et au pessimisme, on oppose détermination, action et résultats.
  • Au déclinisme, l’angoisse, on préfère la joie de vivre, l’engagement, la qualité de vie.
  • A la division, à la fracture, on oppose le rassemblement, l’addition des compétences et des intelligences au service de notre vie quotidienne.
  • Aux blocs de haine, on opposera toujours des blocs entiers d’amour parce qu’il vaut mieux s’entendre bien avec son voisin.

Ce qui nous unit, finalement, tient dans ces quatre phrases. Elles sont essentielles.

ALORS, NOUS CREONS UN MOUVEMENT POLITIQUE NOUVEAU

Pour la première fois en France, nous lançons un parti 100% régional, 100% territorial.

100% régional, cela veut dire que ce parti a pour seul objectif et seule mission d’affirmer, défendre et promouvoir la totalité des territoires du Sud. Commune par commune, département par département, bassin de vie par bassin de vie.

Et pour ça, une seule recette fonctionne : l’addition de toutes les forces et de toutes les compétences, qui veulent servir leur territoire. On rassemble les élus, la société civile, les militants, et on redonne du sens. En rassemblant des idées qui vont de l’écologie raisonnable jusqu’à la droite gaulliste, en rassemblant les Alpins, les Azuréens et les Provençaux, en rassemblant du chef d’entreprise à l’ouvrier, de l’artiste à l’artisan, de l’agriculteur au militant pour le climat, notre union fait notre force.

Dans notre parti, la liberté est donc totale, le respect est indispensable.

Votez pour qui vous voulez ! En dehors des extrêmes, vous pouvez choisir vos étiquettes nationales librement, les garder, en changer : allez-y !

Quand Monsieur Governatori se bat pour le covoiturage en Région Sud, Quand Madame Pin défend nos traditions avec Jean-Pierre Richard, Quand Monsieur Isnard organise le foncier en Région Sud, Quand Monsieur Daudet fixe la stratégie pour sa ville de Cavaillon, Quand Madame Joly pilote la Société du Canal de Provence, Quand Monsieur Murgia organise sa commune et sa station de ski, Quand Monsieur David défend les maires des Alpes-Maritimes, ce n’est pas une question d’étiquette. Ce n’est jamais une question d’étiquette. Et tous ceux que je viens de vous citer militent dans des partis différents.

Cette liberté s’applique à tous : ici, chacun est libre de s’engager par ailleurs au niveau national, et d’avoir une double appartenance. Hors des partis, point de salut ! Je me positionnerai également dans les semaines à venir.

Mais « Cap sur l’Avenir » ne sera pas un club d’élus, coupé du monde. Il sera exactement l’inverse ! Nous inventons ici le parti de la vraie vie.

Et ce parti laissera donc une place inédite à la société civile, dans sa diversité régionale. Pour être en phase avec le terrain, organiser la remontée d’informations, les lanceurs d’alerte, et reconnecter le monde politique à la vraie vie. Nous, les élus locaux, nous ne l’avons jamais quitté !

L’ORGANISATION DU PARTI REFLETERA CES VALEURS

D’abord, un bureau politique qui pilote le parti :

Thomas BERETTONI sera mon secrétaire général : Premier adjoint au maire de SaintLaurent du Var, Conseiller régional et conseiller métropolitain. Il sera accompagné par une équipe à vos côtés, pilotée par notre coordinateur régional.

On y retrouvera les présidents de département adhérents, les présidents de métropole, les sénateurs qui représentent les territoires dans la République Et je fais un clin d’œil à nos députés, pour qu’ils ne pensent pas qu’ils en sont exclus : ils peuvent aussi participer à la vie du parti !

Y siègeront également les présidents de parti qui ont rejoint notre démarche : JeanMarc GOVERNATORI pour l’Ecologie au Centre, Christophe MADROLLE pour l’UCE et Paul-Henri HALLALEN, pour les Citoyens Démocrates et Républicains.

Territorialement, nous allons nous organiser par bassins de vie :

Avec, pour chaque département, des Vice-Présidents territoriaux :

  • Bénédicte MARTIN, pour le Vaucluse
  • Hubert FALCO et François DE CANSON, pour le Var
  • Jean-Paul DAVID et Jennifer SALLES BARBOSA, pour les Alpes-Maritimes
  • David GEHANT, dans les Alpes de Haute-Provence
  • Arnaud MURGIA, dans les Hautes-Alpes

Nous désignerons ensemble, au mois de novembre, des référents territoriaux à leurs côtés, bassin de vie par bassin de vie. L’architecture est quasiment faite !

Au-delà de l’organisation territoriale, le parti sera divisé en quatre collèges tous représentés au sein du bureau politique :

La Chambre des territoires, qui réunit tous les maires et présidents d’intercommunalité adhérents :

  • Coprésidée par Chantal EYMEOUD, Gérard DAUDET et Camille GALTIER – trois maires des départements non-littoraux !

C’est un clin d’œil à l’histoire – et aux trois autres « gros » départements, les Alpes-Maritimes, les Bouches du Rhône et le Var, qui prennent tout !

L’Assemblée de la Vraie vie : secteur par secteur, branche par branche, pour faire vivre la société civile au sein du parti. Je la présenterai dans son organisation finale en décembre !

Nos jeunes d’abord ! la section jeunesse de notre parti, qui sera pilotée par Loris MARTIN et Djihane DIB, pour faire entendre la voix de nos jeunes au sein de ce parti. On a besoin de vous ! Et vous avez besoin de nous : on va vous former, vous faire progresser ici.

Enfin, les Amoureux du Sud, où on trouvera les « Parisiens du Sud », les « Européens du Sud » et les « Sudistes du monde », pour réunir cette diaspora d’amoureux du Sud qui n’y vivent pas, ou qui n’y sont pas nés !

VOUS L’AVEZ COMPRIS, LES ENJEUX SERONT NOMBREUX

Certains voudraient nous faire croire que tout va mal, que l’avenir est aux catastrophes en série, à l’apocalypse, au désastre. Et beaucoup, même autour de nous, baissent les bras, se résignent, finissent par croire que rien ne peut changer.

Mes chers amis, nous allons démontrer ensemble que le fatalisme n’a aucun sens. Nous allons être un démonstrateur de la décentralisation réussie, montrer aux Parisiens que le Sud sait prendre son destin en main.

Vous attendez de l’autorité, de la fermeté ? Vous en aurez : je suis de ceux qui pensent que les élus sont élus pour décider, pour trancher et faire ce qu’ils disent.

Vous ne supportez plus cette gauche débraillée, qui hurle et mime des vagins à l’Assemblée nationale ?

Vous n’acceptez pas cette extrême-droite qui a trouvé un nouveau camouflage pour ses idées, porter la cravate ? Vous ne serez pas déçus, ici.

Vous ne croyez plus en la politique nationale, vous êtes déçu, mais vous avez encore confiance en votre maire, en votre conseiller général, en votre président de région ? Bienvenue chez vous ! C’est votre parti ! Mais ne lâchez jamais votre pays.

Vous ne supportez pas l’assistanat, moi non plus ! A moi de faire en sorte que le taux de chômage soit moins important : le respect de la valeur travail ? Mais du travail comme on l’entend aujourd’hui, avec une vie privée. Mes enfants ne travaillent pas comme je travaillais moi. C’est différent. Et pourtant ils ne sont pas fainéants.

Alors rejoignez-nous, et venez donner votre avis, exprimer votre opinion, proposer des projets ! Ce parti est à vous !

Vous voulez protéger la planète, assurer l’avenir de vos enfants, mais vous ne supportez plus ces « écologistes » qui interdisent les barbecues, les crucifix, le Tour de France et écrivent en écriture inclusive ? Et bien moi non plus, et pourtant on a fait la COP d’avance.

Vous êtes une femme, un homme du Sud, vous aimez la France, vous aimez l’Europe, vous êtes prêts à travailler avec des gens qui ne pensent pas comme vous mais qui veulent faire réussir leur pays ? Alors venez, on va se régaler ! Oui ! On va se régaler, on va retrouver le bonheur de faire de la politique ensemble !

La politique, et pas n’importe laquelle : celle qui change la vie, celle qui agit, celle qui se bat pour vous et avec vous.

Celle qui vous permet d’être ensemble, de vous battre pour ce que vous croyez juste, ce que vous croyez bon.

En rejoignant « Cap sur l’Avenir », vous avez fait le choix d’une aventure un peu unique, un peu spéciale, et surtout complètement neuve.

Au moment de la guerre en Ukraine, au moment de la crise énergétique, je veux que vous réalisiez la chance que nous avons. De vivre dans cette région, d’y être libres, en démocratie et en paix. Regardez nos bars, nos hôtels, nos restaurants : on sort de deux années de COVID, et on savoure notre mode de vie ! Nous on n’enrôle pas notre jeunesse pour une guerre à l’issue incertaine – mais aux morts bien certains, eux. Nous, on vit dans un territoire exceptionnel.

Réalisons. Savourons. Un peu de raisonnable, de positif, de volonté d’agir ensemble. Ce parti doit servir à ça, et il servira à ça. Je vous en fais le serment ! Maintenant, à nous de jouer !

Je vous remercie.

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